Voilà, le salon de Paris est terminé. Ce salon n’était pas comme les autres, c’était mon premier salon du livre.
J’ai fait beaucoup de salons dans ma vie en tant qu’exposant, et celui-ci comme les autres, je l’ai abordé de la même manière : « ne m’attendre a rien ». Et ce qui devait arriver arriva. À l’instar d’un des principaux sujets de mon roman, j’ai fait des rencontres. J’ai rencontré des éditeurs, des auteurs et j’ai surtout rencontré des lecteurs. Certains de ces derniers avaient déjà lu le roman, mais beaucoup d’autres le découvraient. C’est là qu’il s’est passé quelque chose d’extraordinaire. Ces futurs lecteurs ont discuté avec moi, ont posé tout un tas de questions auxquelles parfois je n’avais pas forcément de réponse. Et le plus incroyable, c’est qu’ils ont acheté le roman juste parce qu’ils avaient eu une conversation avec l’auteur.
On ne se connaît pas, je ne connais pas leur goût, rien ne supposait qu’ils achètent mon livre. Des millions de livres sont disponibles sur le salon, et c’est le mien qu’ils choisissent ! Qu’est-ce qui pourrait me rendre plus heureux ?
C’est aussi pour moi le début de l’angoisse. Vont-ils apprécier le roman, ou le jeter au chien ?
J’ai un début de réponse avec Angélique. Croisée au hasard, conversation de quelques minutes, et elle repart avec le livre sous le bras en me promettant de me donner son avis…
Je vous laisse découvrir son commentaire.
Pour le moment il n’est publié qu’en français.
Pas du tout, je suis né dans la région parisienne.
Absolument pas, c’est de la pure fiction. Tous les personnages et l’histoire de fond sont purement imaginaires.
Il y en a, mais elles ne sont là que pour mieux comprendre l’époque et les décisions des personnages. Ce n’est pas un roman historique, c’est une aventure dans l’histoire.
Non, cette saga en trois volumes est terminée. Mais je ne dis pas que ses personnages ne vont pas vivre d’autres aventures.